« Créer un espace d’échanges sur la « contribution des connaissances traditionnelles dans le développement de l’Afrique » en vue d’aider à proposer des solutions alternatives au défi de la santé en Afrique, à travers l’expertise des éminents chercheurs ici réunis »,renseigne le professeur Coulibaly Adama, président de l’université Peleforo Gon Coulibaly.
C’était à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la deuxième édition de Tree for Africa 2019, le jeudi 11 avril à la bibliothèque B de ladite institution académique.
« Pour que l’Afrique puisse se développer dans le contexte de l’économie de la connaissance, il faut créer de la valeur ajoutée en repensant l’éducation, en permettant à la science et à la technologie d’aider à transformer socialement et économiquement, nos pays », fait remarquer le père François Kaboré, directeur de l’institut universitaire jésuite.
Poursuivant, il dira que « Nous proposons un changement de paradigme dans notre façon d’enseigner et d’éduquer. Une éducation qui comprend en compte, les réalités et les valeurs de nos pays », indique le président général de Tree for Africa.
Ensuite, place a été faite à la communication du professeur Walter Park, co-président de cette conférence scientifique internationale. Une communication qui portait sur les avantages liés à la propriété intellectuelle.
Puis, l’administration, le personnel enseignant et les étudiants ont eu droit à des éclaircissements de la part de l’expert qui vient de l’American University aux Etats-Unis d’Amérique.
Outre ces temps forts, plusieurs panels relatifs au thème ont, également, meublé la cérémonie.
L’on a enregistré la présence du professeur Nda Paul de l’Ascad, de Docteur Mafini Dosso, économiste et analyste des politiques à la commission Européenne et bien d’autres experts nationaux et internationaux.
Billy Kakao
