ET revoilà encore le phénomène des congés anticipés. Tel une épidémie, il s’est déjà emparé de plusieurs villes du pays: Daoukro, Vavoua, Korhogo, Dimbokro, Séguéla…pour ne citer que celles là. Hélas ces villes sont abonnées depuis belle lurette à ce phénomène. Depuis ce lundi 6 décembre 2021, c’est la frénésie. Que faire donc ? La question s’adresse à tout le monde. Parents, enseignants, autorités, forces de l’ordre, hommes des médias, élèves, tous.
Le mode opérateur est connu. Les perturbateurs viennent souvent d’autres établissements sur invitation de leurs camarades élèves ou non et ils se rendent la monnaie. Ainsi une complicité notoire existe entre ces élèves. Il revient aussi que des enseignants véreux tapis dans l’ombre, s’associent au phénomène.
Voici entre autres quelques solutions préconisées par ivoirecho.net
-Amener le personnel enseignant et d’éducation à pointer présents dans les établissements jusqu’au jour du départ effectif en congés, (le 17 décembre 2021), en garantissant leur sécurité.
-Procéder à l’appel nominatifs journalier des élèves dans les classes en fonction de leur emploi du temps
-Etablir la liste exhaustive des absents qui auront à justifier avec preuves leurs absences.
-Traduire devant le conseil de discipline tous ceux qui ne fourniront pas d’arguments valables pour leurs absences et appliquer sévèrement les décisions qui vont en découler.
-Pour les exclusions définitives, qu’elles le soient de tous les établissements de Côte d’Ivoire
-Pourquoi aussi ne dirigerait-on pas ces perturbateurs pris vers des camps militaires pour les éduquer à la rigueur militaire par le civisme ?
RFLECHISSONS TOUS ENSEMBLE. Le djihadisme en Côte d’Ivoire pourrait être le phénomène des congés anticipés.
JPH