“Nous avons besoin de nous autoévaluer parce que nous nous devons de faire toujours mieux. Nous devons nous replonger dans la dynamique de tendre vers la perfection en commençant par faire notre propre autocritique », a estimé le président de la CEI à l’ouverture du séminaire d’auto-évaluation de la commission électorale indépendante (CEI) qui s’est ouvert, mercredi 10 novembre 2021, à Yamoussoukro
Du mercredi au vendredi, les personnels administratifs et techniques de la commission électorale vont passer au peigne fin les différentes étapes du déroulement des dernières législatives et sénatoriales partielles, “faire ressortir les difficultés rencontrées et partager les solutions qui y ont été apportées”.
Coulibaly-Kuibiert estime que cet atelier devra permettre de “formuler des recommandations en vue d’améliorer les activités futures”. Selon lui son institution ambitionne d’offrir une meilleure gouvernance électorale à ses concitoyens par l’organisation d’élections aux normes et standards internationaux, d’une part et conformes à la réglementation en vigueur, d’autre part.
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