Foot/Eboué parle de son divorce. Selon lui, des femmes de certains de ses coéquipiers ont poussé sa femme a demander le divorce

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Emmanuel Eboué dit qu’il a perdu tous ses biens en Angleterre au profit d’Aurélie Bertrand, après le divorce. « Au tribunal, elle a bénéficié de tous les biens que j’avais en Angleterre. Les deux maisons et les voitures que je possédais. J’en ai cruellement souffert en y pensant ».

« Ma femme a été poussée à bout par certaines femmes de mes anciens coéquipiers pour demander le divorce »

Quelle est le problème exact d’Emmanuel Eboué Aurélie Bertrand ? Le joeur se prononce sur la question.

« Pour mes fans qui veulent savoir la vérité, j’ai décidé de parler. Déjà, il faut qu’ils sachent que je n’ai jamais dit que j’étais ruiné. Les différentes interprétations de certaines personnes m’ont gratuitement collé cette étiquette. J’ai juste dit que j’avais besoin de réconfort. Puisque j’ai eu des problèmes avec mon ex-femme après notre divorce. Le verdict du jugement lui a été favorable comme c’est le cas en Angleterre pour les femmes. Elle a été poussée à bout par certaines femmes de mes anciens coéquipiers pour demander le divorce puisqu’entre elle et moi, tout se passait bien. », a-t-il confié sans toutefois nommer les femmes de ses anciens coéquipiers qu’il accuse d’être à la base de son divorce.

« J’en ai cruellement souffert »

Eboué affirme en avoir beaucoup souffert. Et d’ajouter qu’il a perdu tous ses biens en Angleterre  au profit d’Aurélie Bertrand, après leur séparation. « Au tribunal, elle a bénéficié de tous les biens que j’avais en Angleterre. Les deux maisons et les voitures que je possédais. J’en ai cruellement souffert en y pensant. Mais avec du recul, j’ai compris que c’était la mère de mes trois enfants et que tôt ou tard, les biens reviendraient aux enfants.», raconte-t-il.

Qu’en est-il des enfants adultérins qu’il aurait eu hors mariage ?

« Je n’ai absolument pas d’enfant hors mariage. Les trois enfants que j’ai eus avec mon ex-femme son les seuls que j’ai. Tout ce qui se raconte est archi faux. Je n’arrive toujours pas à voir mes enfants depuis près de deux ans. J’ai très mal. Le mardi 30 janvier, c’était l’anniv de mon fils. Elle (son ex-femme) m’a lancé un appel vidéo pour que je puisse parler avec lui. J’ai fondu en larmes. C’était très douloureux. J’étais très attaché à eux. »

Eboué raconte que dans les moments difficiles qu’il a traversés, il n’a pas eu le soutien de ses anciens coéquipiers, encore moins celui des dirigeants ivoiriens. Seuls N’dri Koffi Romaric et Baky Koné, selon lui, l’ont moralement soutenu.

« Pendant cette douloureuse période, je n’ai eu aucun soutien de mes amis avec qui j’ai joué en équipe nationale. J’avais besoin d’un soutien moral pas financier. Tous n’ont pas compris ça. Hormis N’dri Koffi Romaric et Baky Koné qui m’ont soutenu moralement, tous m’ont tourné le dos. Aucune personne de la FIF n’a décidé de me contacter pendant cette période. J’ai servi le pays à un moment de ma vie. J’aurais aimé recevoir un soutien affectif de ma Fédé. C’est bien dommage mais c’est la vie. Je suis un lion, je ne tombe jamais. »

« Je vais en découdre avec Francis Kacou »

L’ex-latéral droit des Eléphants de Côte d’Ivoire est revenu sur sa suspension par la Fifa et ses démêlés avec ses ex-agents, notamment avec Francis Kacou. « Toutes les interviewes que Francis Kacou a données à ce sujet sont fausses. Il est à l’origine de tous les problèmes avec mes ex-agents. J’ai joué la carte de l’honnêteté avec lui et en retour, il m’a poignardé dans le dos. Il m’a soutiré près de 15 000 euros qu’il a refusé de payer à l’avocat en charge de régler l’affaire. Et tout ça, parce que j’ai refusé qu’il soit mon agent. J’ai eu la vraie version de l’affaire auprès de l’avocat quand je me suis rendu à la Fifa pour le litige. Malheureusement, il était trop tard pour rattraper le coup. Mais Francis ne perd rien pour attendre. Je vais en découdre avec lui. »

En attendant d’en découdre avec Francis Kacou, Eboué s’occupe des jeunes joueurs que Galatasaray supervise en Afrique. « Je suis le superviseur des jeunes joueurs que Galatasaray supervise en Afrique. Si vous voulez, je suis l’œil du club en Afrique. Je suis en train de passer mes diplômes d’entraîneur en Angleterre. J’attends le signal de la Fédé anglaise pour retourner et aller terminer ma licence B. Au terrain de la Sir, je donne un coup de main à mon ami Olivier Kapo. »

Avec linfodrome.ci

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