Il y a de moments où il faut être au travail comme des moments où il faut se retrouver pour se divertir après le boulot, comme on le dit, pour décompresser.
Ce fut le cas à Niakara les samedi et dimanche 17 et 18 octobre derniers, où des amis de clubs de maracana de Boundiali et de Bouaké se sont donné rendez-vous à Niakara pour prendre une bouffée d’oxygène avec leurs amis de clubs locaux.
« Nous sommes venus dans le cadre de la confraternité en matière de maracana. Nous avons choisi de nous retrouver par moments entre clubs frères de maracana. C’est dans ce cadre que les clubs frères de maracana de Boundiali, de Bouaké et de Niakara se sont retrouvés aujourd’hui à Niakara dans l’optique de l’ouverture officielle du maquis Le Principal. C’est pour donc nous retrouver pour fraterniser et nous divertir à travers le boulot. La vie n’est pas seulement faite que de boulot. Par moment, il faut décompresser. On trouve parmi nous toutes les couches socio-professionnelles, des ingénieurs, des médecins, des enseignants, des ouvriers, des agriculteurs, tout le monde. Pour ces premières retrouvailles, il n’y a eu ni vainqueur, ni vaincu. Les seuls vainqueurs ce sont les relations que nous avons tissées », a dit le Directeur depa des mines de Boundiali, initiateur et tuteur de ces premières retrouvailles.
Les participants dans leur ensemble piaffent d’impatience de voir la roue tourner pour une autre destination.
« Aujourd’hui à Boundiali on peut recevoir Niakara sans problème, Bouaké peut venir à Niakara sans souci, Boundiali peut se rendre à Bouaké comme il lui sied. Voilà ce que nous recherchons. Nous rapprocher grâce au maracana qui reste l’un des meilleurs canaux de confraternité », a ajouté Koné Roger, directeur départemental des mines de Boundiali et président d’honneur du maracana club de Boundiali.
Notons que c’est dans une ambiance carnavalesque que les amis des clubs de maracana de Boundiali, de Bouaké et leurs tuteurs de Niakara pour cette première phase, se sont séparés, non sans promettre de remettre le couvert très bientôt.
JPH