A l’initiative du centre de formation et de sports de la préfecture de police dirigé par le coach international et instructeur national de kick boxing, Lhedson Lyzadet , la première édition du festival des arts martiaux et culturel de Korhogo (Famacko), s’est tenue le samedi 23 mars au centre culturel Womiengnon.
Et ce, en présence du commissaire divisionnaire-major et préfet de police de l’ex-district des savanes, Kouamé Kouassi Boittini ainsi que de celle des représentants de la sous-préfecture centrale et de la mairie, en l’occurrence Charles Datté et Coulibaly Brahima Tostao.
Tae kwondo, sankudo kikai, shotokan, wadorio, kick boxing, muay thai, kung fu menth et kung fu shaolin kempo…telles sont les disciplines présentes à ce festival.
Des démonstrations relatives à ces différentes disciplines ont meublé le festival sous les vivats ou hourras d’un public enthousiaste et connaisseur.
« De telles initiatives contribuent à renforcer nos liens avec les populations et surtout que le sport est un puissant facteur de rapprochement. Notre ministre en a fait un de ses chevaux de bataille et par conséquent, nous nous devons de mettre cela en pratique sur le terrain afin d’être en phase avec nos populations », explique le préfet de police Boittini.
Associées à l’organisation dudit festival, la mairie et la préfecture, par les voix de Coulibaly Brahima Tostao et Charles Datté, ont qualifié de salutaire le festival : « Occuper sainement ces jeunes gens, surtout, en ces temps troubles ; les faire frotter les uns aux autres, peut contribuer à renforcer la paix et à sauvegarder la cohésion sociale », disent-ils en chœur.
Afin de donner un cachet populaire au festival, deux danses du terroir, conviées pour la circonstance, le boloye et le gbofé, ont fait des prestations ‘’endiablées’’ pour le bonheur du public.
Billy Kakao