Duekoué/Deux présumés voleurs de motos arrêtés par la police nationale. Les faits.

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Dans la nuit du samedi 20 juillet 2024, un  présumé voleur de moto  a été appréhendés par le commissaire de police Ouattara Issouf, chef de service du commissariat de police de Duekoué. Sur les faits, nos sources expliquent que ce jour-là, il est environ 14 heures, lorsque le commissaire Ouattara Issouf, chef de service du commissariat de police de Duekoué, de retour du corridor situé sur l’axe Duekoué -Man, appercoit deux individus circulant sur une moto de type Apsonic de couleur noire qui, à la vue de son véhicule de commandement paniquent.

Ayant observé l’attitude suspecte de ces deux individus, le commissaire alerte ses éléments qui se déploient au niveau du village de Guitrozon. En attendant que ses agents n’arrivent sur les lieux, le commissaire de police, stationne son véhicule et emprunte un taxi Communal puis se lance aux trousses des présumés voleurs de moto. 

Après quelques heures de courses poursuites, l’officier de police rattrape les deux individus. Vite il les somme de stationner. Et là, l’un des suspects saute de la moto et prend la tengeante.

A en croire toujours nos sources, le second est vite maîtrisé par le commissaire de police de Duekoué qui sans perdre de temps, appelle un renfort. Ses éléments arrivent bien à propos et embarquent avec eux le présumé suspect jusqu’à leur base. Une fois au poste de police, alors que les policiers interrogeaient cet individu qui dit répondre au nom de T. A. la trentaine révolue, voilà que le vrai propriétaire de la moto en question, atterrit dans les locaux du commissariat de police de Duekoué.

Interrogé, le présumé voleur de moto se met rapidement à table et explique aux policiers avoir effectivement braqué l’engin à deux roues et avoir soutirer la somme de 900 milles francs CFA au propriétaire de ladite moto.

Invité à son tour à donner sa part des faits, le propriétaire de la moto qui dit répondre au nom D. M. se disant planteur à Kouibly, après avoir dévisager son bourreau, pique une crise dans les locaux dudit commissariat de police.

Après être remi de son traumatisme, la victime a plaidé pour la libération de son agresseur. Et refuse de porter une plainte. 

Rogard Lagnon.

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