Yamoussoukro : Rentrée littéraire des éditions de la Fondation FHB. Les nouveaux ouvrages dédiés à Félix Houphouët-Boigny dédicacés

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Six ouvrages écrits par des éminents professeurs et historiens ivoiriens issus des éditions Félix Houphouët-Boigny créée il y a de cela dix ans par la Fondation qui porte le nom de l’illustre premier président ivoirien, Félix Houphouët-Boigny viennent d’être dédicacés le mardi 19 octobre dernier à la librairie de cette institution.

Il s’agit respectivement de « Côte d’Ivoire. Une société multisectorielle en marche malgré tout vers l’unité et la paix, » de Simon-Pierre Ekanza, « Péléforo Gbon Soro, patriarche des Sénoufo » écrit par Ferdinand Ouattara Tiona, « Ethnie, Etat et Nation dans une Côte d’Ivoire réconciliée » du Pr ministre Mariatou Koné coordonnatrice de l’ouvrage, « Les relations extérieures de la Côte d’Ivoire de 1961 à 2011, » de Kouadio Guessan, « Les Akhan et l’Egypte pharaonique » (2ème édition ) de Thot’O  Amani et « Houphouët-Boigny, l’Homme de culture et le Panafricaniste colonial » (3èmE édition) du Pr Jean-Noël Loukou.

Ce sont ces ouvrages qui ont meublé et mis fin à la célébration des festivités scientifiques, religieuses, historiques du 116ème anniversaire de la naissance du père de la nation, ce 28 ans après sa disparition.

Pour le secrétaire général de la Fondation, le Pr Jean-Noël Loukou, il de faire connaître et diffuser auprès de la communauté scientifique et du grand public des ouvrages se rapportant aux programmes de recherche, et des ouvrages de toute nature présentant un intérêt scientifique et culturel.

Ces publications sont depuis la dédicace, disponibles dans les librairies en général, à la librairie de la Fondation Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro en particulier.

Pour le secrétaire général de la Fondation, les écrits étant une force, ils diffusent les idées qui changent le monde et renferment toute la sagesse des nations. Et l’Afrique, terre ancienne  et de grande sagesse, ne doit pas été la parente pauvre de l’écrit, du livre, sous prétexte que ses sociétés sont de l’oralité. Les africains doivent écrire, écrire et écrire…

Armand Koffi

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