Une cinquantaine d’agriculteurs et consommateurs de 6 régions de Côte d’Ivoire, (Gbêkê, Bélier, Marahoué, Haut-Sassandra, N’zi et Gontougo) ont pris par le mercredi 23 juin 2021, à un atelier dont l’objectif est de sensibiliser les populations sur la nécessité d’une alimentation saine et durable.
Il s’agit pour L’INADES-Formation Côte d’Ivoire d’attirer l’attention des agriculteurs sur l’utilistion abusive et non rationnelle dess pecticides. Ce qui malheureusemnt aussi est le cas dans notre pays selon plusieurs témoignages de participants à cet atelier baptisé « Campagne Conscience Alumen TERRE » et qui a pour slogan « L’Alimentation est un droit, Manger est un Vote ».
Selon le directeur régional de l’Agriculture et du développement Rural de la région de Gbêkê, « Les pesticides ne sont pas utilisés à bon escient dans le domaine de l’agriculture. Même si l’on est obligé d’utiliser des pesticides, il y a des normes. Il faut d’abord que ce soit des produits homologués. et même quand ils le sont, il y a une norme à respecter. Les quantités sont souvent sur-utilisées ou sous-utilisées, ce qui a des connséquences sur la qualité et le rendement ».
Mme Ezoua Angéline, membre d’une coopérative de manioc: « Nous sommes coscients de la dangérosité des pesticides dans secteur d’activité. Nous conseillons toujours d’utiliser les pesticides les moins agressifs, notamment les herbicides et de ne même pas en utiliser quand la plante rentre en production. Ces conseils sont parfois foulés au pied, donc ont un un impact négati sur la qualité du tubercule destiné à la consommation ».
Pour sa part, Asseman Asseman parfait, formateur a justifié la tenue du séminaire qui vise en premier à inviter les gouvernants à garantir à tout citoyen une alimentation en qualité en quantité, et inviter les agriculteurs à se tourner de plus vers l’agroécolocuture. A l’en croire, une utude menée par sa structure montre clairement une mauvaise uttilisation des pesticides qui nuit à la santé des population.
« Certains producteurs utilisent des pesticides du coton sur le vivriers, il ya également le non respect du dosage et la mauvaise gestion des emballages pour la conservation de certains produits de consommation, le lait, le miel, l’eau etc.
Toutes ces pratiques sont malsaines. Nous appelons les producteurs à des pratiques agroécologiques pour une alimention saine ».
JPH
