A Niakara le 4 octobre 2019 , les populations du quartier route de Tortiya ont été alertées par un riverain de découvert d’un corps sans vie d’une jeune fille âgée d’un peu plus de 20 ans. Elle serait de nationalité nigériane. Des parties du corps étaient mutilées et emportées. Notamment le sexe et la langue.
La decouverte macarbre de ce crime crapuleux et horripilant, s’est rependue comme une traînée de poudre et a jeté l’émoi au sein des populations.
Selon nos sources la jeune fille, appartiendrait à un club de jeunes filles de joie venues sur Niakara pour tenter de gagner leur pain aux trémoussements de leurs fesses sur des tiges moelleuses et juteuses. La nuit, elles prennent d’assaut certains maquis de la ville à la recherche de clients férus de sexes faciles.
Cette fois le client d’en face n’était pas un enfant de chœur. Il avait d’autres intentions. Après avoir satisfait sa libido, il lui a plu d’ôter la vie à celle qui nul doute l’a transporté au septième ciel il y a à peine quelques instant. Plus grave, il poussera son ingratitude jusqu’à lui arracher sa langue et son sexe, les deux organes à la base de son excitation certaine. Quelle horreur !
Vouloir devenir rapidement riche est devenu légion chez les jeunes qui s’adonnent à toutes sortes de rituels (zamou) et de sacrifices . Ainsi les différents carrefours enregistrent chaque jour leur lot de calebasses pleines de colas , oeufs et de cauris. Il faut noter que la gendarmerie après son constat d’usage à naturellement ouvert une enquête.
Gnakouri Toatao
