Kouassi-Kouassikro
La déléguée régionale du conseil coton – anacarde sensibilise contre la fuite des produits
Le lancement de la campagne 2019 du conseil du coton et de la l’anacarde de la délégation régionale de Dimbokro, pour l’étape de Kouassi-Kouassikro a eu lieu le 04 Mars 2019, dans la salle de réunion de la préfecture, en présence du préfet par intérim de la région du N’Zi, préfet du département de kouassi-kouassikro, N’Guessan Kouakou Germain. Amani Clarisse, délégué régional du conseil du coton et de l’anacarde, a profité de l’aubaine, pour sensibiliser les producteurs contre la fuite de leur produits. Elle a souhaité qu’aucun producteur de Kouassi-Kouassikro, ne se rendre complice de la fuite des produits, de leur localité, vers les pays limitrophes. Elle a également présenté la feuille de route à travers un power point. A travers son exposé, elle a instruit les participants sur le mode d’achat, le tarif homolgué, les amandes auxquelles les acheteurs pourraient être exposer, quand ils ne respectent le prix de 375 fcfa. Elle a incité sur une production de qualité : » car notre pays occupe le premier rang mondial, et nous devons produire des noix de qualité. La délégation compte sur vous, pour relever le défi », a-t-elle indiqué. Elle a repondu aux qestions des pisteurs, qui plaident pour un financement de leurs achats, en disant que la direction général y travaille, pour trouver une solution à ce problème. Le préfet de Kouassi-Kouassikro, a pour sa part souligné dans son allocution que: « L’état de côte d’ivoire a donné le prix bord champs, qui est de 375 FCFA, il revient a la délégation régionale de procéder a un lancement officiel dans chaque département. Je me réjouis que vous soyez a Kouassi-Kouassikro, devant les producteurs, pisteurs, chefs coutumiers et les structures locales, promotrices de la noix de cajou. Le département de Kouassi-Kouassikro, par ma voix s’engage pour une production de cajou de qualité ». Le comité d’eveil, s’est dit prêt à faire en sorte que la fuite des produits vers d’autres pays ne passe pas kouassi-kouassikro.
E. Pisani
