Korhogo : L’importance des résolutions 1325 et 2250 expliquée aux membres des ‘’grins’’ de thé

0
820

Permettre aux groupes informels et formels de pouvoir recevoir des formations et participer ainsi au maintien de la paix et de la cohésion sociale, tel est l’un des objectifs principaux de cette activité avec 54 membres des ‘’grins’’ de thé du quartier Banaforo-mosquée Al-Nour de Korhogo. C’était le vendredi 25 juin dernier.

De façon spécifique, il s’agit d’informer les mouvements de jeunes formels et informels sur le contenu des résolutions 1325 et 2250 en vue de la promotion de la participation plus équitable des hommes et femmes dans la prise de décision et de gestion des questions de paix et de sécurité.

Pour faire correctement les choses, les membres de la plateforme de la mobilité des jeunes engagés pour la cohésion sociale (Mojec) et initiatives des jeunes engagés pour la consolidation de la paix en Côte d’Ivoire (Ijep), ont évalué les connaissances de l’auditoire sur les deux résolutions avant d’en expliquer les contours et enjeux pour nos hameaux, campements, villages et villes.

La rencontre qui a enregistré la participation effective de Ouattara Issiaka, responsable du projet initiatives des jeunes engagés pour la consolidation de la paix en Côte d’ Ivoire (Ijep) à care international, a permis de clarifier et identifier tous les moyens pour atteindre les objectifs et buts visés par les résolutions 1325 et 2250 du conseil de sécurité des Nations-Unies.

En sa qualité de point focal dans le projet initiatives des jeunes engagés pour la consolidation de la paix en Côte d’Ivoire (Ijep) pour le compte de l’association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (Afjci), Oka Ismaël Kouassi Yayi, directeur de la clinique juridique de Korhogo,  a félicité les uns et les autres pour avoir permis des échanges francs et enrichissants pour tous.Notons que le projet est financé par le fonds des nations-Unies pour la consolidation de la paix par le biais de care international et est exécuté sur le terrain par l’association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (Afjci) à travers la clinique juridique de Korhogo.

Billy Kakao

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici