Or donc l’éthique et la morale sont des valeurs qui ne sont pas partagées par cet agent municipal que l’on peut qualifier d’obsédé sexuel, de prédateur sexuel, de nymphomane, de « N’kapôlô », bouc en Tagbana. Ces qualificatifs peuvent paraître même assez doux pour décrire le comportement déviant de ce conseiller municipal de Niakara vu son âge où chez la plupart des personnes du même âge que lui, la sagesse à fini de s’installer.
Apparemment, il y à quelque chose à rechercher dans le comportement de ce névrosé qu marche dans les pas d’un autre. Qui ne se souvient en effet de cet autre scandale sexuel qui a failli jetter l’oprobe sur la même instittution il y a quelques années ? Mais ce premier scandale avait été étouffé in extremis. Est-ce la crise de midi dont parlent nos amis psychologues que traversent ces vieux travailleurs ?
Cette fois, alertés par deux dames du viol de leurs filles de moins de 10 ans, par un homme âgé de 76 ans, les hommes du commissaire Konan Amani à peine installé, ont après une enquête rapide et minutieuse en collaboration avec les populations riveraines, mis le grappin sur le bourreau, qui n’est personne d’autre que KTJP, ancien chef d’établissement secondaire à la retraite et conseiller municipal.
Comment peut-on comprendre qu’un homme de sa trempe puisse tomber aussi bas ?
Pour sûr, l’acte de ce sexagénaire paraît tellement incompréhensible et inacceptable aux yeux des riverains qu’ils se demandent s’il n’est pas atteint d’une maladie psychique liée à une addiction sexuelle. En tous cas ici, Il est de notoriété publique que ce monsieur est un véritable obsédé sexuel, mais de là à s’en prendre à des gamines de 8 et 9 ans, dépasse l’entendement commun. Franchement c’est à jute titré qu’il nous paraît normal de le traiter de nymphomane, et c’est le moins dire.
Selon des sources proches des victimes, les faits remontent au lundi de Pâques où le présumé violeur aurait interrompu le jeu de boîtes des gamines dans sa cour pour leur proposer un autre jeu dans son salon avec comme appât quelques pièces de monnaie.
Une fois à l’intérieur de la maison, tour à tour les gamines passeront devant lui. Mais l’une d’entre elles n’a pas supporté ce jeu malsain et démoniaque. Le fameux jeu consistait pour le vieux violeur, à mettre son vieux nerf ridé dans la bouche de la fillette, à la tripatouiller et lui introduire son vieux sexe ridé entre les jambes. Elle a alors commencer à crier
La deuxième gamine en a fait pareil, se mettant à son tout, à crier fort. Pris de panique, le vieil homme libère les gamines alors qu’il a tout de même réussi à accomplir son forfait. Il entreprend de s’enfermer dans sa résidence.
De retour dans leur familles respectives avec des douleurs au bas ventre, on découvrira après analyse médicale qu’elles ont été violées. L’une d’entre elle a même été évacuée au CHR de Katiola où elle devra subir une intervention chirurgicale.
Maudit << N’kapôlô>>.
Automatiquement une plainte est déposée au commissariat de police et qui finit par cueillir le bouc suite à une patrouille dans la nuit du jeudi au vendredi.
Mis aux arrêts depuis le vendredi 5 avril, il a été déféré de source policière le lundi 8 avril au tribunal de katiola où il devra répondre de ses actes ignobles.
Sources, une correspondance particulière.
NB/Photo juste pour illustration.
